Cette semaine a été plutôt triste parce que nous avons dit au revoir à un de nos amis Markus. Un garçon allemand qui nous a fourni une bonne quantité de faits et de statistiques grâce à notre expérience Erasmus et nos excursions d’une journée, ce qui était parfois très ennuyeux mais nous ne l’aurions pas voulu autrement.
il n’était pas le meilleur à parlé français, mais il était certainement le plus avertis et debrouillardise dans la rue surtout quand les chauffeurs de taxi ont tenté de profiter de nous les jeunes tourists et il va me manquer.
Cette semaine, lors de notre cours d’introduction à la gestion, un groupe d’étudiants est entré dans la salle de conférence avec un mégaphone en train de crier au sujet d’un rassemblement qui aurait lieu vendredi, interrompant le flux d’éducation et aussi ma concentration. Je n’ai pas vraiment fait attention, je voulais juste en finir avec la leçon.
Ce n’est que plus tard, lorsque deux professeurs sont venus parler à l’assemblée d’une manière plus formelle du rassemblement et de la marche de Paul Valéry au centre-ville que j’ai compris qu’il s’agissait des Plan Étudiants. Un projet de réforme de l’enseignement superior en France proposé à la fin de l’année 2017 par le gouvernement d’Edouard Phillippe visant notamment à répondre au problème de saturation des universités. quelque chose que le Royaume-Uni et les États-Unis ont fait en termes de sélection systématique des étudiants à mettre en œuvre en France, qui, à mon avis, ne semble pas être une telle affaire.
Mais je ne sais pas.